Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Activistes GAÏA
8 mars 2013

Les non vaccinés sont en bien meillieure santé que les vaccinés

Article de Sylvie Simon, paru dans la revues Nexus n° 77 de novembre-décembre 2011

 

Il y a près de 2 ans, Claire-Anne Siegrist, qui détient la Chaire de vaccinologie à l’université de Genève — grâce au laboratoire Mérieux — et qui vient de rejoindre le comité qui conseille le gouvernement britannique en matière de vaccination, a déclaré au journal La Tribune de Genève des 20-21 décembre 2008 qui lui consacrait sa première page : « Laissez faire la nature, c’est la sélection naturelle : l’espérance de vie à 35 ans et la moitié des enfants qui meurent avant 5 ans ».

C’est ce que les laboratoires qui fabriquent les vaccins sont parvenus à faire croire à une grande partie de la population et à certains de nos gouvernants. Comme le disait si justement le Pr Alexandre Minkowski : « Il suffit en France d'affirmer un chose avec autorité pour être cru sur parole », particulièrement si la personne qui affirme est une « autorité de référence ». Mais nous pouvons constater que ce procédé n’est pas réservé à la France, ni aux États-Unis, il est répandu à travers le monde.

Dans le même article de La Tribune de Genève, cette « meilleure spécialiste au monde des vaccins », bien connue pour ses propos aussi absurdes qu’entachés d’erreurs, en a profité pour faire aussi la promotion du vaccin contre le papillomavirus en prétendant, tout aussi mensongèrement, qu’il prévient « le cancer du col », ce qui est parfaitement faux à diverses raisons, comme Nexus l’a démontré précédemment. Il est surprenant que le journal de Genève, réputé pour son sérieux, soit le porte-parole d’affirmations aussi stupides, mais dites avec « autorité ».

La meilleure réponse médiatisée à ces allégations ridicules est arrivée d’Allemagne le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision Alpenparlament TV. Ce jour-là, la chaine allemande diffusait une interview d’Angelika Kögel-Schauzt, mathématicienne, responsable de l’EFI (association d’information sur les vaccins) qui citait une étude concernant plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans, donc très significative.

Cette étude, appelée KIGGS, a été menée durant trois ans, de mai 2003 à mai 2006, par l’Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande qui est au service du ministère fédéral de la Santé. Elle est pratiquement inconnue en France, et le résumé de cette longue étude a été publié dans le journal Bundesgesundheitsblatt (Vol. 49, N° 10, 2006). L’Institut poursuit actuellement cette étude au cours d’une seconde étape (2009 – 2012).

Spécialisé dans les maladies infectieuses, l’Institut Robert Koch, du nom du médecin allemand qui découvert la bactérie responsable de la tuberculose, le « bacille de Koch », a analysé en détail la santé de 17 461 enfants représentant un échantillon de toute la population. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant, soit au total 20 millions de données qui répondent à toute sorte de questions sur leur santé, leur milieu social et familial, leurs analyses de sang et d’urine, leur statut vaccinal et les types de vaccins qu’ils ont reçus, afin de déterminer l’état de santé des enfants allemands dans les tranches d’âge de 0 à 2, 3 à 6, 7 à 10, 11 à 13, 14 à 17 ans. Il faut signaler que dans ce pays la vaccination n’est pas obligatoire.

Ils ont ainsi constaté des différences spectaculaires, très supérieures aux attentes, entre les vaccinés et les non vaccinés. Ainsi, les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 % contre 10,6 %). Pour le rhume des foins, on trouve 10,7 contre 2,6 %, pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 %, pour les neurodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %. Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.

On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres (5,3 contre 0,5 %), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 %. Quant aux problèmes de vue, les non vaccinées portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a constaté que les vaccins endommagent les nerfs optiques. Il avait parlé d’« épidémie de lunettes » à cause du nombre croissant de vaccins administrés aux enfants.

Les travaux de l'Institut Koch ont aussi mis l’accent sur les maladies infectieuses. Les pneumonies touchent 11,07 % des enfants vaccinés alors qu’il n’y en a que 7,75 % chez les autres et pour les otites, on passe de 11 % à 2 %.

L’incidence des maladies infectieuses pour les 7 à 17 ans, ont été étudiées pendant les 12 mois précédent le sondage. On en a déduit que le système immunitaire des non vaccinés fonctionne normalement, alors qu’après la vaccination, il devient fou ou se bloque.

 

tableau ci-joint en PNG 

 

Il est à peu près certain que les abstracts de cette étude ne seront pas traduits en Français, ni qu’une chaîne française ne reprendra les propos d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV qui prouvent bien, graphiques à l’appui, que plus on vaccine, plus les enfants sont malades. Peu importe ! l’industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c’est pour cela qu’on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu’inutiles et avec des injections de plus en plus fréquentes. 

 

Les enquêtes menées pour comparer la santé des enfants vaccinés et non vaccinés sont plus nombreuses qu’on ne le dit mais restent, la plupart du temps dans des tiroirs ou bien circulent exclusivement dans des milieux avertis.

En 1942, Leslie Owen Bailey, grand philanthrope et fondateur de la Natural Health Society en Australie, a recueilli dans sa propriété d’Hopewood 85 enfants dont les mères, malades ou trop pauvres, étaient incapables de s’occuper. La plupart d’entre eux étaient encore des bébés.

Surveillée par le Child Welfare Department et les nutritionistes de l’université de Sydney, la santé des enfants était remarquable. Ils vivaient et mangeaient très sainement, particulièrement des fruits et légumes du jardin, étaient végétariens, buvaient de l’eau pure, ne prenaient pas de médicaments et surtout, ils n’ont jamais été vaccinés.

La seule maladie qu’ils ont attrapée à l’époque fut la varicelle, dont ils ont guéri très rapidement, buvant seulement de l’eau et des jus de fruit.

En 1947, le Dr N.E. Goldsworthy, un médecin à la tête de l’Institut dentaire de Sydney, entreprit une longue étude sur l’état des dents de ces enfants durant plus de dix ans. Cette étude montre que les enfants de Hopewood avaient 16 fois moins de problèmes dentaires que les autres enfants du pays. Le Dr Goldsworthy déclara que cela tenait du « miracle » et dépassait même les performances des enfants de Nouvelle Guinée, réputés pour avoir les « meilleures dents du monde ».

L’ensemble de la profession médicale australienne accorda un intérêt particulier à l’état de santé de ces enfants et Sir Lorimer Dodds et le Dr D. Clements, qui dirigeait alors le secteur de la Nutrition des enfants à l’université de Sydney, surveillèrent leur santé durant 9 années. Ils déclarèrent ensuite qu’ils n’avaient jamais vu des enfants en aussi excellente santé et Zoe Benjamin, psychologue pour enfants, remarqua leur indépendance d’esprit et leur joie de vivre.

Ces enfants sont un exemple frappant de l’efficacité d’une vie naturelle sans aucun vaccin. Leur histoire est évoquée longuement dans les revues australiennes de la société Natural Health (Volumes 3, 4, 5 et 6).

Hopewood est à présent un centre de retraite reposant où l’on peut suivre des cours et des conférences sur l’aromathérapie, l’alimentation, une vie saine, mais on s’est empressé d’oublier à travers le monde les résultats remarquables obtenus grâce à la non vaccination d’enfants, nés pourtant sous de mauvais hospices.

 

Le Dr Michel Odent a dirigé le service chirurgie et la maternité de l'hôpital de Pithiviers de 1962 à 1985, puis s’est installé à Londres, où il milite au niveau international en faveur d'un changement des pratiques, en se basant sur l'ensemble des données scientifiques actuelles. Il a accompli un remarquable travail sur les conséquences de la vaccination contre la coqueluche.

En 1994, il a publié une étude dans laquelle il comparait l’incidence de l’asthme entre 243 enfants vaccinés contre la coqueluche et 203 qui ne l’étaient pas. Les enfants vaccinés avaient 5 fois plus de chance de souffrir de crises d’asthme et 2 fois plus d’avoir des infections de l’oreille que les non vaccinés. En 1997, une autre étude rétrospective menée sur 1934 patients nés entre 1975 et 1984 dans l’Oxfordshire en Angleterre, montre que les enfants vaccinés contre la coqueluche avaient 75 % de plus que les autres de devenir asthmatiques ou d’attraper la fièvre des foins.

Aux yeux de ce spécialiste, les programmes de vaccination ont produit des générations de mères dont l’indigence des anticorps vaccinaux ne permet plus de protéger leurs bébés de la coqueluche, ce qui explique qu’ils l’attrapent et en meurent parfois dans les premières semaines de leur existence. Lorsque ceux qui ont résisté sont devenus adultes, ils sont victimes de toux chronique, d’asthme, d’allergies et infections diverses, car ils n’ont pas été en contact avec la bactérie qui aurait contribué à construire leurs défenses naturelles.

Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd’hui, n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes bien plus graves de cette maladie qui atteint à présent les adultes et les adolescents, ainsi que les nourrissons.

 

Une étude approfondie, consacrée à la responsabilité des vaccins sur l’incidence de l’autisme, a été entreprise aux États-Unis, par un journaliste d’investigation, Dan Olmsted, alors que le gouvernement fédéral s’acharnait à retarder les études sur leur toxicité. En recherchant des enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins — ce qui est rare dans ce pays — afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences, Olmsted s’est adressé aux Amish du district de Lancaster, en Pennsylvanie, dont les convictions religieuses s’opposent à la vaccination. Chez eux, les autistes sont pratiquement inexistants.

Il s’aperçut alors que, d’après le pourcentage d’autistes sur le plan national, il aurait dû en trouver 130 chez les Amish. Or, il n’en trouva que 4. L’un d’entre eux avait été longtemps exposé à un fort taux de mercure à cause d’un générateur, les trois autres étaient vaccinés.

Lorsqu’il fit part de cette découverte au Dr. Julie Gerberding, du CDC, elle lui répondit qu’elle n’avait aucun intérêt car les Amish avaient des « dispositions génétiques qui les rendaient différents des autres populations des États-Unis ». Il est surprenant que pour justifier une position indéfendable, ce médecin ayant d’importantes responsabilités ait osé dire qu’une religion hors norme peut modifier les gènes qui deviennent alors hors norme. Les croyances auraient-elles un impact sur les gènes ?

Dan Olmsted étudia ensuite une autre communauté, non religieuse mais qui est loin d’être une secte, le Homefirst Health Services de Chicago, qui a un point commun avec les Amish : les enfants ne sont pas vaccinés et ne sont jamais autistes. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de Rolling Meadows dans la banlieue de Chicago, fondée en 1973. Ces médecins accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants pendant leur enfance et leur adolescence. Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical de l’organisation, signale : « Depuis des années, nous avons suivi 30 à 35 000 enfants dès leur naissance, et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins. Nos médecins ont aidé à faire naître plus de 15 000 bébés dont la plupart n’ont jamais été vaccinés. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant. »

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser les moyennes d’autistes de cet État à 38 pour 10 000, d’après le ministère de l’éducation, alors que, d’après le CDC, elles sont de 60 pour 10 000 dans le reste du pays.

Le Dr Eisenstein, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, ajoute que ces chiffres sont significatifs et qu’il est impossible d’ignorer la différence. Les vaccinations sont obligatoires dans l’Illinois, mais l’État accepte les exemptions pour raisons religieuses. Homefirst laisse les parents libres de leur choix, mais Eisenstein critique ouvertement la politique de vaccination du CDC depuis les années 1990. Il est l’auteur du livre Don't Vaccinate Before You Educate ! (Ne vaccinez pas avant d’éduquer).

Le Dr Paul Schattauer, qui fait partie du Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine, confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin des un sur 166 cas officiels dans notre pays. » En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2 500 dans cette région.

Le Dr Schattauer a également confirmé que les enfants traités par les médecins du Homefirst sont rarement sujets à l’asthme et au diabète juvénile, alors que le pourcentage d’asthme chez les enfants est d’environ 10 % pour le reste de la population. Commentaire du Dr Eisenstein : « J’ai d’abord cru que cette protection était due à l’allaitement maternel ; mais nous trouvons des asthmatiques chez les enfants nourris au sein alors qu’il n’y en a pas chez les enfants nourris au sein et non vaccinés. »

Au début de l’année 2005, le Dr Jeff Bradstreet, pédiatre en Floride, spécialiste de l’autisme, a confirmé qu’on ne trouve pratiquement aucun cas d’autisme chez les enfants non vaccinés pour des raisons religieuses et élevés au sein de leur famille afin d’échapper aux vaccinations scolaires, ce qui rejoint les observations du Dr Eisenstein et celles de Dan Olmsted.

Actuellement, aucun responsable des vaccinations n’accepte d’accorder le moindre crédit au fait qu’il n’existe pas d’autisme chez les Amish, ni dans les rangs de Homefirst à Chicago, ni chez les enfants scolarisés dans leur famille. Ce fait constitue une omission très significative. Et la plupart des psychanalystes interrogés sur le sujet prétendent que l'autisme pourrait être la conséquence d'une dépression maternelle, d'une mauvaise relation avec l'enfant, voire d'un refus de l'apport masculin pour la conception. Certains osent même accuser des stades de folie transitoire chez la mère, ou même des désirs incestueux. C’est évidemment plus confortable de proférer de telles âneries que de remettre en question le dogme vaccinal.

Ces études concernent particulièrement les cas d’autisme, mais la santé générale des enfants Amish ou du Homefirst de Chicago est bien meilleure que celle des autres enfants américains.

Il est notoire qu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, mais, dans ce cas précis, les instances de santé sont criminelles de ne pas essayer de comprendre la raison de l’augmentation effrayante de cette maladie et, surtout, pourquoi elle ne touche pas les enfants non vaccinés.

 

Après avoir travaillé aux États-Unis au Centre des sciences respiratoires de l’université de Tucson, en Arizona, puis à la Clinical Effectiveness de la Harvard School of Public Health à Boston, Erika von Mutius dirige la policlinique d’allergie et asthme au centre hospitalier universitaire pour enfants de Munich. Elle fait également partie du conseil rédactionnel du New England Journal of Medicine.

Le groupe de recherche de Pr Von Mutius s’est consacré à l’étude du rôle des expositions microbiennes dans le développement des allergies et de l’asthme. En 1999, ils ont comparé l’état de santé des enfants de Berlin Est et Ouest avant la chute du mur, pensant que les enfants de Berlin Est plus pauvres, moins soignés et mal nourris seraient en plus mauvais état de santé que leurs voisins de l’Ouest. Or, ils ont alors constaté que la réalité était à l’opposé de leur hypothèse. « Les enfants des régions les plus pauvres d’Allemagne de l’Est étaient en bien meilleur état de santé que ceux des familles aisées de l’Allemagne de l’Ouest. Leur taux d’allergie était bien inférieur et ils étaient rarement victimes d’asthme. L’équipe fut forcée de remettre en question ses observations qui rejoignent celles des « hygiénistes » qui pensent que l’exposition aux microbes dès l’enfance aide à renforcer le système immunitaire et préserve ainsi la santé des adultes.

En outre, une autre étude a montré que 5 à 10 % des enfants de 4 à 6 ans ont des verrues et que dans le groupe d’âge de 16 à 18 ans, on en trouve chez 15 à 20 %. Or, chez les enfants non vaccinés cette étude n’en a trouvé que 3 %.

(http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

 

Quant à la mortalité infantile, elle augmente avec le nombre de vaccins reçus, étant plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus. C’est ce que suggèrent de nombreuses études internationales, dont la plus récente a été publiée le 4 mai 2011 dans la revue Human and Experimental Toxicology par Neil Z. Miller, journaliste médical américain, et le Dr Gary Goldman, gynécologue, spécialiste de la varicelle, auteur de nombreuses publications dans JAMA « Journal of American Medical Association), et le BMJ (British Medical Journal).

Ils ont passé en revue toute la littérature afin de comparer le nombre de doses de vaccins administrés aux États-Unis et dans 33 autres pays et leur taux respectifs de mortalité infantile. Leur étude a démontré que le taux de mortalité infantile et les doses de vaccin suivent la même courbe. Ainsi, aux États-Unis, pays qui détient le record mondial de vaccinations (26 au minimum), on compte plus de 6,22 décès pour 1 000 naissances. En France où l’on recommande 19 doses, on enregistre 3,33 décès pour 1 000 naissances. En Suède où l’on n’administre « que » 12 vaccins, on compte 2,75 décès et au Japon, où le nombre de vaccinations est identique, le nombre de décès est de 2,79 pour 1 000. (cf. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given : Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

Philip Incao, Pr de médecine à Denver, estime que la santé des enfants de son pays s’est beaucoup détériorée depuis 1960 avec la large utilisation des vaccins : « Pendant 23 ans j'ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. D'autre part, les premiers n'ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres ».

Il a bien étudié le Syndrome de la Mort subite et inexpliquée du Nourrisson (MSIN) qui contribue au nombre élevé de décès constatés chez les nouveau-nés : « Chez ces enfants de moins d'un mois qui sont morts, la plupart des décès ont été classifiées comme MSIN. Cependant, dans le passé, ce syndrome n'a jamais frappé d'enfants aussi jeunes et la MSIN est officiellement observée seulement après un mois d'âge. […] Quoique le VAERS ait été créé selon la loi fédérale pour permettre une évaluation plus précise des risques de vaccination et bien que les données brutes soient analysées, les rapports individuels de d’accident ou de décès sont rarement, s'ils le sont, examinés. »

De son côté, le Docteur Jane Orient, spécialiste de médecine interne à Tucson, Arizona et Directeur de l'Association de Médecins américains et des Chirurgiens a déclaré : « La présence de découvertes comme l'œdème cérébral chez les enfants en bas âge sains qui meurent très peu de temps après la réception du vaccin contre l'hépatite B est inquiétante, particulièrement en vue de la fréquence de symptômes neurologiques dans le VAERS. »

Dès 1986, le Pr R. Bastin nous avertissait dans Le Concours médical du Ier février : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osait écrire quelques années plus tard : « […] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !

 

Au Japon, l'introduction en 1947 du vaccin anticoquelucheux avait induit un tel nombre d'accidents qu'il fallut créer un fonds spécial d'indemnisation, ce qui porta atteinte au crédit de la vaccination, laquelle fut suspendue en 1975 et qu'il fut jugé nécessaire d'introduire un nouveau vaccin, dit « amélioré », pour rassurer les parents. Un vaccin « acellulaire » est aujourd'hui administré aux enfants entre 2 et 4 ans. Néanmoins, les demandes d'indemnisation qui ont été signalées, sans compter les cas non déclarés, prouvent que le vaccin acellulaire n'est pas plus sûr que l'autre. (cf. Pediatr. Infect. Dis. J. - vol 9 - n° 10 - 1990). Cependant, en différant la vaccination contre la coqueluche après l’âge de deux ans, les japonais ont constaté une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (cf. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama - 1990). Il est indéniable que l'acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire.

Déjà, en 1970, le Dr Archie Kalokerinos du Biological Research Institute d’Australie avait réussi à inverser la mortalité infantile de la population aborigène dans le bush australien en différent les vaccinations. Avec son confrère le Dr Glen Dettmann, le Dr Kalokerinos a découvert un lien évident entre la déficience immunologique provoquée par la vaccination et le syndrome de la mort subite et inexpliquée du nourrisson.

Mais en France, pays de Pasteur, les instances de santé ignorent ou font semblant d’ignorer toutes ces parutions qui devraient ébranler le dogme vaccinal. Espérons que le travail de l’Institut Robert Koch sera mondialement médiatisé et fera enfin tomber l’omerta qui règne sur ce sujet.

 

Sylvie Simon

 

(On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt, sur plusieurs sites Internet)

 

1. On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV en cliquant son nom sur plusieurs sites Internet.

 

2. http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

3. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

 

4. Pediatr. Infect. Dis. J., vol. 9 - n° 10, 1990.

5. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama, 1990.

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité