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Activistes GAÏA
9 mars 2013

Lettre type pour refuser la vaccination auprès des autorités

 

 

Nous pensons avoir trouvé le moyen d'échapper à l'empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu'ils ne puissent plus jamais dire à l'avenir qu'ils ne savaient pas :

A - Photocopier les pages du livre : à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu'à la fin de la réponse à la question n° 19. (lien pour télécharger l'ouvrage : http://www.onnouscachetout.com/open.php?id=198 )
B - Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d'autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.
C - Écrire à l'autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d'Académie, Conseil Général, Directeur d'école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

 

masjiddarwa@yahoo.fr
Mardi 9 Mars 2010

 

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l'Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Éd. Albin Michel).
 Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l'encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d'Instruction à Paris.
 Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l'Hépatite B.
 Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l'école…  Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:
 
 I – OBSERVATIONS
 Alors que la quasi-totalité des pays d'Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l' empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.
 
 Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d'alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
 _Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d'enfants vaccinés contre la coqueluche,  _Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,  _En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.
 
 Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd'hui :
 _Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,  _Qu'ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.
 
 Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l'apparition du Sida,  _Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu'ils sont censés prévenir !
 _Que l'on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.
 
 Or, il semblerait que l'arrêt des épidémies n'ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.
 Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.
 Personne, d'ailleurs, n'est capable d'expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l'humanité...
 Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d'environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d'entre eux n'a fait l'objet du moindre démenti.
 La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d'un empoisonnement collectif, et qu'il est plus que temps de réagir.
 
 En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu'ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n'ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.
 Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l'ignorance totale de ces informations, car l'information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.
 Ces médecins indiquent également qu'une vaccination n'est pas un acte banal, et qu'un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l'Arrêté du 28 février 1952.
 Or, jamais une seule vérification n'est proposée aux enfants, ce qui procède d'une négligence criminelle.
 
 Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n'est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.
 La France est le seul pays d'Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires.
Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c'est le 1er pays producteur de vaccins du monde…  En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d'autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu'ils ont faites.
 Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd'hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n'a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd'hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.
 
 Je vous remets la copie d'un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.
 Je précise qu'aucun d'entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d'être hypnotisé ou décérébré...
 Vous trouverez également la couverture d'un certain nombre d'ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.
 
 II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS
 Les conséquences que l'on peut tirer de l'ensemble de ces informations sont les suivantes :
 _Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
 _Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l'immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd'hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
 _Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu'elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
 _Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.
 
 Ainsi, le fait d'imposer l'administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d'autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d'empoisonnement ou administration de substances nuisibles.
 
 III - MES QUESTIONS
 
 1°) Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?
 
 2°) La Loi, et notamment, l'Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c'est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l'on veut administrer à l'enfant n'est pas dangereux pour lui.
 Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s'agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m'en fait obligation) ?
:
 
   a) Ionogramme complet, dosage de l'urée,
   b) Lipidogramme,
   c) Bilan endocrinien,
   d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
   e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
   f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l'organisme à fabriquer les anticorps,
   g) Bilan radiologique:
   - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu'il y a au moins une dent dévitalisée,
   - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.
 
 3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd'hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins ?
 
 4°) L'ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l'appellation de « vaccins » n'empêchent pas de contracter la maladie.
 Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.
 Par conséquent, afin de respecter l'obligation vaccinale qui m'est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l'efficacité est garantie ?
 
 5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l'administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d'ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.
 Afin de ne pas me rendre complice du crime d'administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c'est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d'aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?
 
 J'indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m'obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d'autrui ». D'autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d'effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l'encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.
 
 Je vous remercie vivement de l'attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.
 
 
 ANNEXES A MON COURRIER : Liste d'ouvrages.
 
 Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et des ouvrages suivantes, accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC :
 
 La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,  La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,  Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,  Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,  Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,  La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,  Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,  Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,  Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,  Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,  Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,  Pour en finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,  La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,  La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,  Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,  On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,  Vaccination, Social Violence and Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,  A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,

 Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,  L'intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,  La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,  Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,  L'intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed.
MIF,
 Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,  Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,  La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,  Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,

 Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,  Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,  La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l'Aronde, 1997,  La catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l'Ouest, 1950,  Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,  Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),  Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),  Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),  Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
 12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,  Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,  Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,  Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,  La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,  La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,  Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.
 
 Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu'à l'étranger, n'a fait l'objet du moindre procès, ni même du moindre démenti.
 
 
 
 Complément d'informations présentation de l'auteur ici :
http://www.onnouscachetout.com/themes/medecine/vaccins-mensonges.php#biblio
 
 A lire : "Vaccins, ce que l'on vous cache" - http://www.vaccination-info.fr/docs/VaccinsAbousaad_03_Ext.pdf
 A voir : "Silence, on vaccine" -
http://linabmoreco.wordpress.com/silence-on-vaccine/

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8 mars 2013

Effets secondaires du vaccin antitétanique (Tétanos)

Ils ne sont pas rares, contrairement aux idées reçues et sont recensés dans une banque de données (Belgian university System). Ils sont cités par le Pr R. Mendelsohn (USA), dans sa revue "People's doctor" de novembre 1984, ainsi que dans "The truth about immunizations" d'avril 1978.

I) Réactions neurologiques:

  • 43% des cas présentent les premiers symptômes dans les 72 heures. Les localisations sont fréquemment les membres ou les nerfs crâniens.

  • Névrite péribrachiale, pouvant conduire à une paralysie du bras: apparition d'une faiblesse dans le membre, dans un délai de 6 à 21 jours après l'injection de l'anatoxine (4 cas).

  • Neuropathie périphérique. [Reinstein L, and al, "Peripheal neuropathy after multiple tetanus toxoïd injections", Arch.Phys. MedRehabil., vol.63, n7, p.332, 10/1982].

  • Névrite périphérique. ["Unusual reactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967]

  • Paralysie motrice [Semaine des Hôpitaux de Paris, vol 53, n36, p. 1965, octobre 1978]

  • Paralysie du nerf laryngé récurent [Eicher W.and al, "Paralysis of the récurrent laryngeal nerve foffowing a booster injection of tetanus toxoïd", Munch. Meti Wochenstr., vol. 111, n°34, p. 1692, 12/1992].

  • Syndrome de Landry: développement rapide de paralysies extensives bilatérales et symétriques selon un mode ascendant débutant aux membres inférieurs et frappant ensuite l'ensemble de la musculature striée.

  • Syndrome de Guillain et Barré: polyradiculonévrite aigüe, c'est à dire, atteinte ascendante, étendue et habituellement symétrique, du système nerveux périphérique rachidien (racines et nerfs), s'accompagnant fréquemment d'une atteinte des nerfs crâniens. [New.S.MecLJ (Nouvelle-Zélande) vol 94, n°695, p.359, 11/11/1981.] [Dev. Biol. Stand. (Suisse), vol 43, p.25, 1979].
    Paralysie faciale a frigore apparue, deux jours après la vaccination, et du côté de l'injection de l'anatoxine. [Concours Médical, vol. 104, n29, 1982].
    Paralysies. (Harrer-G and al., "Paralysis following tetanus toxoïd booster inoculation",Wien. Med Wochenschr, vol. 121, n°l5, p.296, 8/1971)

  • Encéphalite

  • Hémiplégie

  • Sclérose latérale amyotrophique, apparue après séro-vaccination antitétanique. [Pr Mande, Concours Médical, 3/12 1977].

  • Sclérose en plaques. Cas personnel: Mr C. fait une première poussée de Sclérose en Plaques (SEP) en 1989. Le patient retrouve son état neurologique normal en septembre 89. En mai 1993, le patient reçoit un rappel antitétanique. En juin 93, soit dans le mois qui a suivi l'injection, deuxième poussée de SEP, alors qu'il était en rémission depuis 3 ans 3/4. Cette nouvelle poussée a été plus sévère, et moins régressive que la précédente, puisqu'en mai 94, le patient en garde toujours des séquelles.

  • Tensions intracrâniennes (USA). [Am.JDix.Child., vol. 133, n°2, p.217, 2/1979.]



  • Autres références bibliographiques:

    • [Tsairis P. and al, "Natural history of brachial plexus neuropathy: report on 99 patients", Arch.Neurol., vol.27, p. 109, 1972. "Adverse events associated with childhood vaccines: evidence bearing on causality", Institute of medicine, Washington D. C. National Academy Press, 1994, références citées dans JAM4, vol. 276, n°23, p. 1869, 1996].

    • JNeur.Sci., vol.37, n°1/2, p. 113, 6/1978.

    • Munch.Med Wochenschr., vol. 107, n°45, p.2258, 5/11/1965.

    • Pediatriia (Russe)., vol.47, n°l1, p. 19, 11/1968.

    • Brit.Med.J., vol.4, n°575, p.320, 11/11/1967.

    • Psychiatr.Neur.MecLPsychoi. (Leipzig), vol.26, n°1l, p.685, 1974.

    • Arch.Dis.Child., vol.48, n°10, p.829, 10/1973.

    • JNeurol., vol.222, n°2, p. 131, 1979.

    • Med Well, vol. 29, n°44, p. 131, 3/11/1978.




II) Réactions allergiques et d'hypersensivité:

  • Hypersensitivité à la toxine tétanique, Journal of Allergy and Clinical Immunology, 1973.

  • Réactions cliniques à la toxine tétanique, Compte rendu du 2ème congrès international sur la tétanos, de Hans Huber, Beme, Suisse, 1967.

  • Allergie induite par l'immunisation à la toxine tétanique, JAMA, 1940.

  • Allergie à l'anatoxine tétanique: la survenue de réactions indésirables plus fréquentes encore après des rappels, a été rapportée très officiellement par de nombreux auteurs. [Annales de l'Institut Pasteur, vol. 120, p. 791, 1991, avec des articles de Bizini, Turpin, Raynaud (Ref de JAUA, Néw England, J of Med., British Med J.)].

  • Anaphylaxie suivant l'administration de la toxine tétanique, British Médical Journal, 1940.

  • Chocs anaphylactiques: nombreuses publications dans la littérature médicale.



  • Quelques exemples:

    • 3 semaines après sa primovaccination, une femme est atteinte d'une rigidité brutale, suivie d'une urticaire sévère avec irritation intense de l'épiderme. Malgré ces symptômes, un rappel fut fait 6 semaines plus tard. La patiente s'est écroulée 5 minutes après l'injection. [CunninghaM "Anaphylaxis after injection of tetanus toxoïd", Brit. Med J., p. 522, 1940].

    • Garçon de 14 ans égratigné en jouant avec un chien; le propriétaire de l'animal exigea que l'enfant soit vacciné: celui-ci en mourut 5 minutes après [Pr W. Spann, Médical Tribune, n°l9, p - 10, 1986].

    • Un patient allemand fait un choc anaphylactique 8 heures après sa 2ème injection; la 3 ème injection faite 6 mois plus tard entrainera sa mort par choc anaphylactique, 2 heures après l'injection.

    • Un médecin allemand de 44 ans, est mort 30 minutes après un rappel antitétanique.

    • Une femme de 24 ans est morte 30 minutes après son rappel antitétanique.

    • Un homme de 34 ans fut victime d'un choc très grave, accompagné d'un syndrome de Lyell (la peau se décolle par lambeaux), et de courbatures.

      * [Ces 4 derniers cas ont été publiés par le Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination IVewsletter, p. 10, sept 1996].

    • [Zaloga G. and al, "Life threatening anaphylactic reaction to tetanus toxoïd", Ann.Allergy, voi.49, n°2, p. 107, 8/1982].

    • [Ehrengut W. and al, "Anaphylactic reaction following injection of tetanus toxdid", Dtsch.Med Wochenschr., vol.98, n10, p.517, 3/1973].

    • [Staak M; and al, "Choc anaphylactique après anatoxine", Dtsch.Med.Wochenschr., vol.98, n°3, p. 110, 1/1973; et vol.98, n°13, p.682, 3/1973].

    • ["Choc anaphylactique suivi d'un arrêt de l'ovulation", Med.Trial tech., vol. 13, n°2, p.87, 12/1987].

    Autres manifestations allergiques:

    • Urticaire accompagné de vertiges, de difficultés respiratoires, survenus dans les 2 heures après la vaccination ["Unusual réactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol 199, p. 125, 1967].

    • Oedème des lèvres, des paupières, asthme, maladie sérique, [Dr Kris Gaublomme, the International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].




III) Réactions dermatologiques:

  • De nombreuses manifestations dermatologiques s'installent sur le long terme: exanthème, dermatite, prurit généralisé, ... et représentent une handicap souvent permanent. D'autres sont passagères: réactions locales avec oedème, inflammation, abcès au site d'injection, phlegmon à streptocoques, granulome, hémorragie, ... [Dr Kris Gaublomme, The International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].

  • Granulome. [RockyMoutainMedJ., (USA), vol.63, nl, p.48, 1/1966].

  • L'article suivant a été publié suite à un effet adverse de la vaccination, et l'auteur mentionne également tous les types de réactions de sensibilité généralement observés après vaccination antitétanique:

    • "Un patient précédemment vacciné au cours de son service militaire, a reçu une injection de rappel d'anatoxine tétanique, qui a provoqué un érythème douloureux des membres supérieurs, accompagné fièvre, et d'athénie pendant plusieurs jours."



  • Commentaire:

    • En général, les réactions indésirables secondaires à l'administration d'anatoxine tétanique, dépendant du nombre de doses précédemment reçues, de la dose d'anatoxine, de la voie et de la méthode d'administration, ainsi que de la présence d'adjuvants et/ou d'antigènes (tels que l'anatoxine diphtérique) dans la préparation vaccinale choisie.

      L'événement indésirable le plus fréquent après un rappel de vaccination antitétanique (observé chez 50 à 85% des sujets) est une réaction locale caractérisée par une douleur et une sensibilité au point d'injection, moins fréquemment (20 à 30% des cas) suivie d'un oedème et d'un érythème et exceptionnellement (moins de 2% des cas) associée à une tuméfaction importante. Plusieurs études ont établi une corrélation directe entre le taux circulant d'anatoxine tétanique et le degré de la réction locale.

      Quelques rapports ont décrit des réactions locales massives (p.ex. tuméfaction s'étendant du coude à l'épaule) principalement chez des sujets ayant reçu plusieurs injections de rappel d'anatoxine. Généralement, ces réactions débutent dans les 2 à 8 heures suivant l'injection. Les anticorps circulants forment apparemment de complexes avec les dépôts d'anatoxine, induisant ainsi une réponse inflammatoire (réaction d'Arthus, hypersensibilité de type H).

    Dans le but d'améliorer la surveillance du risque et de la nature des événements indésirables graves après vaccination (en particulier la vaccination antitétanique), il est demandé aux médecins de déclarer ces événements.

    • ["Réactions indésirables à l'anatoxine tétanique", JANIA, édition française, vol.20, n'319, p.35, 1995].

    • Autres publications: ["Réaction locale au Têtavax", Concours Médical, vol. 117, n°23, p. 1825, 1995].

    • ["Allergie au vaccin antitétanique", Concours Médical, vol. 115, n°37, p.3315, 1993].

    • ["Réaction locale après Têtavax", Concours Médical, vol. 114, n°34, p.3083, 1992].

    • [Jacobs RL, and al, "Adverse reactions to tetanus toxoïd" JAMA, vol.247, n°l, p.40, 4/1982].

    • [Hansson H., Cutaneous reactions to merthiolate and their relationship to vaccination with tetanus toxoïd", Acta Allergol.,vol.26, n°2, p. 150, 1/1972].

    • [Waak AL, "Local reactions following booster injection", Ned. Tydschr Geneeskd, vol. 110, n°7, p.332, 8/1966].

    • [Edsall.G. and al, "Excessive use of tetanus toxoïd boosters", JA.AM,, vol.202, n'l, p. 111, 11/1967].

    • [Wegmann A., "Local reactions after repeated tetanus vaccine", Scheiz. Med.Wochenschr., vol. 109, n-3 8, p. 1409, 10/1979].

    • Abcès à répétition. [Am. J Des Child, vol 135, n°9, p.826, 9/1981; Pediatrics, 5/1985].

    • Ictère (jaunisse) chez le nourrisson: augmentation du nombre de cas chez le nouveau-né, lorsque le vaccin est administré à la mère durant la grossesse [Vox Sang. (Suisse), vol 38, n°l, p22, 1980].




IV) Réactions diverses:

  • Déficit en coagulation, [Dr Kris Gaublomme, The International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996]

  • Hémolyse sévère après Tétracoq (à propos de 3 cas). [Acta Paediatr.Scand., vol.67, n°3, p.345, 5/1978].

  • Infarctus du myocarde avec décès quelques heures après vaccination. [Annales of allere, vol.49, p. 107, 1982. Deutsch Med. Wschr., vol 99, p. 850, 1974].

  • Douleurs articulaires persistantes, vomissements, diarrhée [Dr Kris Gaublomme, lhe International Vaccination Newsletter, p. 10, sept 1996].

  • Variations de la protéinurie. [Vojnosavit. Pregl. (Yougoslavie), vol 29, nl, p. 11, 1/1972].

  • Glomérulonéphrite. [Nouv. presse Med., vol 9, N°5, p. 315, 26/l/1980].

  • Altération de la fonction des corticosurrénales. [IG Mod (Italie), vol. 59, n°l1, p. 735, 1966].

  • Panartérite noueuse (ou Périartérite noueuse). [Revue de Médecine interne, vol 27, suppl 3, p.446, 12/1996; Z. Haut. Geschléchtskr. (Allemagne), vol 45, n°19, p.655, 1/10/1970].

 



Alors, est-ce que vous croyez vraiment que votre médecin ou pire, la petite infirmière de votre CLSC, peut vous informer des dangers de ce vaccin?

Bien sûr que non!

Le système de santé au Québec n'est pas CAPABLE de vous transmettre cette liste (partielle, qui plus est) des effets secondaires au vaccin contre le tétanos (ou DTP), c'est préoccupant, non?

Dire que des centaines de milliers de Québécois se font injecter ce poison sans savoir à quoi ils s'exposent... c'est une véritable tragédie.

Soyez prudents avec les vaccins, vous ne savez pas ce qu'ils contiennent.

Et les médecins non-plus parce qu'ils font bêtement confiance au "manufacturier" sans jamais vérifier (rigoureusement) le contenu exact de chaque vaccin.

« Modifié: février 06, 2011, 06:33:45 pm par editeur »
8 mars 2013

Guerres et mensonges des médias de Michel COLLON le 4 juillet 2012

8 mars 2013

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8 mars 2013

Les risques du Gluten et du laitage - Marion KAPLAN

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8 mars 2013

75% des médecins refusent la chimiothérapie pour eux-mêmes

Candida Albicans | Le Dr. Simoncini écrit

Un grand manque de confiance est aussi évident parmi les médecins. Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (75 pour cent) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.
Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la chimiothérapie :
“La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs.”
(Allen Lewin, MD, UCSF, “The Healing of Cancer”, Marcus Books, 1990)

“Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.”
(Prof. Georges Mathé “Scientific Medecine Stymied”, Médecines Nouvelles, Paris, 1989)

“Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : “ … Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux.” Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées”.
(Walter Last, “The Ecologist”, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)

“De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants.”
(Albert Braverman, MD, “Medical Oncology in the 90s”, Lancet, 1991, vol. 337, p. 901)

“Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de régression tumorale et généralement partielle.” (Edward G. Griffin, “World Without Cancer”, American Media Publications, 1996)

“Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

“Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils appliquaient; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine – un des médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)

“Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: “ … Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.”
(Lancet, Aug. 10, 1991)


“Aucun des principaux media n’a jamais mentionné cette étude exhaustive; elle a été complètement enterrée.”
(Tim O’ Shea, “Chemotherapy – An Unproven Procedure”) “Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.”
(Journal of The American Medical Association, april 15, 1998)

8 mars 2013

Avons-nous droit à la vérité ? de Michel COLLON (25 avril 2013)

8 mars 2013

Vous êtes le résultats de ce que vous mangez.


Ne cherchez pas, les gens censés et les scientifiques non dépendants sont tous d’accords : 70 à 80% des cancers se construisent par notre mode alimentaire.

Mais la dégradation s’effectue progressivement sur des années voire des décennies ; or, ni les gens ni la médecine ne reconnaissent aisément un lien direct et préfèrent noyer le problème dans la fatalité de mystères multifactoriels.

Voyez par exemple concernant le cancer du sein dont 13% des femmes étasuniennes sont atteintes alors que moins de 1% des femmes japonaises le sont parce qu'elles consomment en majorité des mets traditionnels composés de crudités, d’algues et de produits de la mer. Et malheureusement, celles qui vont vivre aux USA rejoignent très vite les statistiques du pays.

Même nos animaux de compagnie sont décimés par le cancer depuis que nous les nourrissons (par facilité) avec des boites et des croquettes.

Hélas il est aussi difficile de faire changer d’habitudes alimentaires que de religion. L’on s’attaque à une éducation du goût et même, pour beaucoup, à une véritable addiction. Alors, on préfère mettre en doute les dérangeurs et espérer des remèdes miracles permettant de ne pas remettre en question nos confortables repères. Ceci prévaut pour la plupart des maladies.

Voici une expérience de laboratoire qui a été effectuée il y a plusieurs décennies sur deux rats (excusez, je suis contre mais c’est fait). L’un des rats était atteint d’une tumeur cancéreuse, l’autre était en bonne santé. Ils furent reliés l’un à l’autre par un pontage sanguin qui mélangeait leurs circulations respectives. Que croyez-vous qu’il arriva ? Le rat malade transmit son cancer à l’autre ? Pas du tout, et de plus il fut guéri. Conclusion : il manquait quelque chose au rat malade pour mener à bien sa guérison, et ce quelque chose lui a été fourni par son compère.

Nous devrions normalement avoir en nous tous les éléments pour nous guérir rapidement de toutes les maladies. Lorsque nous tombons malades, c’est que nous présentons une grosse CARENCE quelque part ; et l’alimentation moderne nous rend de plus en plus carencés.

Pourquoi ? Parce que toute la chaîne alimentaire (animaux de bouche, fruits, légumes, céréales) est carencée, et cela d’abord à cause des engrais chimiques qui brûlent l’immense population des indispensables micro-organismes du sol, qui rendent les minéraux assimilables par les racines. Ajoutons à cela 5 tonnes en moyenne de vers de terre à l’hectare qui, éradiqués, ne participent plus à la chaîne de transformation des micro-éléments de la terre.

De plus 90% des habitudes alimentaires sont faites d’aliments morts, tués par une cuisson brutale, par la congélation, l’ionisation (rayons gamma), ou les conservateurs chimiques.

En médecine, il y a de nombreuses voies pour résoudre les problèmes de santé dont trois principales :

intervention par des remèdes chimiques –ne traitent ponctuellement que les symptômes - tous toxiques (molécules n’existant pas dans la nature et non reconnues par le vivant)
intervention par des remèdes naturels – dépannage non toxique mais provisoire
intervention par une nutrition raisonnée – rend au corps sa capacité d’auto-guérison définitive

Une étude intéressante dont personne ne parle

En 1932, Paul Kouchakof, médecin suisse a montré que si notre alimentation contient plus de 50% de produits cuits, il se produit systématiquement une réaction du sang qu’il nomma « leucocytose nutritionnelle » comme si le système digestif était agressé par un ennemi. Inversement, Kouchakof dit que cette leucocytose ne se produit jamais lorsque nous consommons plus de 50% d’aliments crus (qui n’ont pas été dégradés par la cuisson). Eh oui, avec la cuisson, adieu les enzymes qui craquent les aliments pour ensuite fabriquer nos propres protéines.

Les carences alimentaires génèrent les carences métaboliques

Petit à petit, cela fait le lit des maladies morbides. Mais quand on sait que l’industrie pharmaceutique fait bon an mal an un chiffre d’affaire de 500 milliards de dollars dans le monde, l’on se doute bien que la promotion de la médecine nutritionnelle est un danger potentiel à dénigrer et à combattre sans ménagement.

J’ai assisté à l’avènement du crudivorisme (et ses dérapages instincto) avec Guy Claude Burger et ses règles bizarres : de la viande crue, du poisson cru, mais pas de céréales ni de légumineuses, inenvisageables crues, d’où, souvent, une grande frilosité des adeptes.

J’ai, de fait, connu des personnes auxquelles le régime végétarien crudivore a parfaitement réussi, mais aussi d’autres pour qui cela a été une catastrophe. Il faut savoir, concernant les légumes, que le travail nécessaire de l’intestin est beaucoup plus important avec le cru qu’avec le cuit. Un colitique doit tout manger cuit s’il ne veut pas entretenir son problème voire l’aggraver.

Concernant les fruits, il y a une règle que peu de personnes connaissent : ils ne doivent pas être consommés avec d’autres aliments mais en dehors des repas, sinon ils génèrent des fermentations et des gaz. Mais ne tombons pas dans le fanatisme, car nous ne sommes pas tous pareils et mon adage favori de thérapeute est « Ce qui guérit l’un peut tuer l’autre ». Aussi soyons toujours attentifs aux réponses de notre corps, surtout en régime permanent, car si la plupart des régimes font des miracles à court terme, les mois s’écoulant, arrive le temps des carences, et les gens se demandent pourquoi cela ne marche plus…..

La sagesse est-elle la formule Kouchakof pour tous ?

Personnellement, j’ai essayé les 50% de cru et cela a été une catastrophe au niveau intestinal : j’ai rapidement perdu plusieurs kilos (alors que je suis déjà maigre au départ) et mon énergie s’est écroulée.

A titre d’exemple, mon épouse est mon parfait anti-modèle de fonctionnement : elle prend un seul repas le soir composé de 80 à 90% de crudités afin de digérer facilement et ne pas grossir, alors que je mange 5 fois par jour avec 80% de cuit pour bien digérer et ne pas maigrir – elle ne mange pratiquement pas de fruits , surtout acides, alors que j’en consomme chaque jour, surtout des bananes - elle a trop chaud quand j’ai froid – elle a besoin de beaucoup de sommeil alors que je dors peu, etc. Bref nous vivons dans deux modèles de véhicule totalement différents et ne fonctionnant pas au même carburant.

En outre, il court une nouvelle mode de régime en raison d’un livre à succès, avec laquelle je ne suis pas d’accord : c’est l’alimentation par groupes sanguins. En l’occurrence est-il raisonnable de concevoir un même régime alimentaire pour un trappeur canadien de même groupe sanguin qu’un bureaucrate martiniquais ? No comment.

Ce qui est valable pour tous, c’est la règle d’or d’Edgar Cayce (le plus grand guérisseur médium du 20ème siècle) : NO FRIES (aucune friture).

Le steak-frites est le menu type qui fait le plus de dégâts cardio-vasculaires. Le pays champion du diabète est l’ile Maurice avec 70% de diabétiques. Pourquoi ? On y grignote sans cesse des beignets et des sucreries dans la rue et l’on y boit des sodas à longueur de journée. Les pays du nord qui consomment énormément de produits laitiers sont ravagés par l’arthrose et les cortèges de maladies inflammatoires (en ite).

Noter que le couscous végétarien est le repas le plus sain et équilibré qui soit : céréale au milieu (semoule de blé) parsemée de quelques légumineuses (pois chiches) et légumes autour. L’on retrouve le même schéma adapté en Amérique du sud avec semoule de maïs – haricots rouges – légumes. Noter enfin que la cuisson à la vapeur est sans conteste la formule la plus saine, préservant au mieux les vitamines et les enzymes.

Et ayez toujours à l’esprit que :

Votre santé physique mais aussi psychique est surtout le résultat de ce que vous mangez depuis longtemps.
8 mars 2013

Mais que faut-il donc pour propérer ?

8 mars 2013

Le complot avec un L et un C majuscules-Crise de 2008 par ThePlot911

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