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Activistes GAÏA

8 mars 2013

Le cartel Pharmaceutique/Rockfeller

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8 mars 2013

Les non vaccinés sont en bien meillieure santé que les vaccinés

Article de Sylvie Simon, paru dans la revues Nexus n° 77 de novembre-décembre 2011

 

Il y a près de 2 ans, Claire-Anne Siegrist, qui détient la Chaire de vaccinologie à l’université de Genève — grâce au laboratoire Mérieux — et qui vient de rejoindre le comité qui conseille le gouvernement britannique en matière de vaccination, a déclaré au journal La Tribune de Genève des 20-21 décembre 2008 qui lui consacrait sa première page : « Laissez faire la nature, c’est la sélection naturelle : l’espérance de vie à 35 ans et la moitié des enfants qui meurent avant 5 ans ».

C’est ce que les laboratoires qui fabriquent les vaccins sont parvenus à faire croire à une grande partie de la population et à certains de nos gouvernants. Comme le disait si justement le Pr Alexandre Minkowski : « Il suffit en France d'affirmer un chose avec autorité pour être cru sur parole », particulièrement si la personne qui affirme est une « autorité de référence ». Mais nous pouvons constater que ce procédé n’est pas réservé à la France, ni aux États-Unis, il est répandu à travers le monde.

Dans le même article de La Tribune de Genève, cette « meilleure spécialiste au monde des vaccins », bien connue pour ses propos aussi absurdes qu’entachés d’erreurs, en a profité pour faire aussi la promotion du vaccin contre le papillomavirus en prétendant, tout aussi mensongèrement, qu’il prévient « le cancer du col », ce qui est parfaitement faux à diverses raisons, comme Nexus l’a démontré précédemment. Il est surprenant que le journal de Genève, réputé pour son sérieux, soit le porte-parole d’affirmations aussi stupides, mais dites avec « autorité ».

La meilleure réponse médiatisée à ces allégations ridicules est arrivée d’Allemagne le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision Alpenparlament TV. Ce jour-là, la chaine allemande diffusait une interview d’Angelika Kögel-Schauzt, mathématicienne, responsable de l’EFI (association d’information sur les vaccins) qui citait une étude concernant plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans, donc très significative.

Cette étude, appelée KIGGS, a été menée durant trois ans, de mai 2003 à mai 2006, par l’Institut Robert Koch, le plus haute instance de santé allemande qui est au service du ministère fédéral de la Santé. Elle est pratiquement inconnue en France, et le résumé de cette longue étude a été publié dans le journal Bundesgesundheitsblatt (Vol. 49, N° 10, 2006). L’Institut poursuit actuellement cette étude au cours d’une seconde étape (2009 – 2012).

Spécialisé dans les maladies infectieuses, l’Institut Robert Koch, du nom du médecin allemand qui découvert la bactérie responsable de la tuberculose, le « bacille de Koch », a analysé en détail la santé de 17 461 enfants représentant un échantillon de toute la population. Les médecins ont recueilli 1 500 données par enfant, soit au total 20 millions de données qui répondent à toute sorte de questions sur leur santé, leur milieu social et familial, leurs analyses de sang et d’urine, leur statut vaccinal et les types de vaccins qu’ils ont reçus, afin de déterminer l’état de santé des enfants allemands dans les tranches d’âge de 0 à 2, 3 à 6, 7 à 10, 11 à 13, 14 à 17 ans. Il faut signaler que dans ce pays la vaccination n’est pas obligatoire.

Ils ont ainsi constaté des différences spectaculaires, très supérieures aux attentes, entre les vaccinés et les non vaccinés. Ainsi, les enfants non vaccinés ont moitié moins d’allergies que les vaccinés (22,9 % contre 10,6 %). Pour le rhume des foins, on trouve 10,7 contre 2,6 %, pour l’asthme et les bronchites chroniques 18,4 contre 2,4 %, pour les neurodermites 13,2 contre 7 %, pour l’herpès 12,8 contre 0,2 % et pour les migraines 2,5 contre 1,1 %. Il en est de même pour le diabète, les problèmes thyroïdiens, les crises d’épilepsie, l’hyperactivité.

On observe également chez eux moins de scolioses que chez les autres (5,3 contre 0,5 %), moins de problèmes de langage, car le besoin d’orthophoniste est de 6,25 contre 2,11 %. Quant aux problèmes de vue, les non vaccinées portent bien moins souvent des lunettes, comme l’avait déjà remarqué le Dr Gerhard Buchwald. Ce médecin allemand, mondialement connu pour ses travaux sur les vaccins, a constaté que les vaccins endommagent les nerfs optiques. Il avait parlé d’« épidémie de lunettes » à cause du nombre croissant de vaccins administrés aux enfants.

Les travaux de l'Institut Koch ont aussi mis l’accent sur les maladies infectieuses. Les pneumonies touchent 11,07 % des enfants vaccinés alors qu’il n’y en a que 7,75 % chez les autres et pour les otites, on passe de 11 % à 2 %.

L’incidence des maladies infectieuses pour les 7 à 17 ans, ont été étudiées pendant les 12 mois précédent le sondage. On en a déduit que le système immunitaire des non vaccinés fonctionne normalement, alors qu’après la vaccination, il devient fou ou se bloque.

 

tableau ci-joint en PNG 

 

Il est à peu près certain que les abstracts de cette étude ne seront pas traduits en Français, ni qu’une chaîne française ne reprendra les propos d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV qui prouvent bien, graphiques à l’appui, que plus on vaccine, plus les enfants sont malades. Peu importe ! l’industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c’est pour cela qu’on invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu’inutiles et avec des injections de plus en plus fréquentes. 

 

Les enquêtes menées pour comparer la santé des enfants vaccinés et non vaccinés sont plus nombreuses qu’on ne le dit mais restent, la plupart du temps dans des tiroirs ou bien circulent exclusivement dans des milieux avertis.

En 1942, Leslie Owen Bailey, grand philanthrope et fondateur de la Natural Health Society en Australie, a recueilli dans sa propriété d’Hopewood 85 enfants dont les mères, malades ou trop pauvres, étaient incapables de s’occuper. La plupart d’entre eux étaient encore des bébés.

Surveillée par le Child Welfare Department et les nutritionistes de l’université de Sydney, la santé des enfants était remarquable. Ils vivaient et mangeaient très sainement, particulièrement des fruits et légumes du jardin, étaient végétariens, buvaient de l’eau pure, ne prenaient pas de médicaments et surtout, ils n’ont jamais été vaccinés.

La seule maladie qu’ils ont attrapée à l’époque fut la varicelle, dont ils ont guéri très rapidement, buvant seulement de l’eau et des jus de fruit.

En 1947, le Dr N.E. Goldsworthy, un médecin à la tête de l’Institut dentaire de Sydney, entreprit une longue étude sur l’état des dents de ces enfants durant plus de dix ans. Cette étude montre que les enfants de Hopewood avaient 16 fois moins de problèmes dentaires que les autres enfants du pays. Le Dr Goldsworthy déclara que cela tenait du « miracle » et dépassait même les performances des enfants de Nouvelle Guinée, réputés pour avoir les « meilleures dents du monde ».

L’ensemble de la profession médicale australienne accorda un intérêt particulier à l’état de santé de ces enfants et Sir Lorimer Dodds et le Dr D. Clements, qui dirigeait alors le secteur de la Nutrition des enfants à l’université de Sydney, surveillèrent leur santé durant 9 années. Ils déclarèrent ensuite qu’ils n’avaient jamais vu des enfants en aussi excellente santé et Zoe Benjamin, psychologue pour enfants, remarqua leur indépendance d’esprit et leur joie de vivre.

Ces enfants sont un exemple frappant de l’efficacité d’une vie naturelle sans aucun vaccin. Leur histoire est évoquée longuement dans les revues australiennes de la société Natural Health (Volumes 3, 4, 5 et 6).

Hopewood est à présent un centre de retraite reposant où l’on peut suivre des cours et des conférences sur l’aromathérapie, l’alimentation, une vie saine, mais on s’est empressé d’oublier à travers le monde les résultats remarquables obtenus grâce à la non vaccination d’enfants, nés pourtant sous de mauvais hospices.

 

Le Dr Michel Odent a dirigé le service chirurgie et la maternité de l'hôpital de Pithiviers de 1962 à 1985, puis s’est installé à Londres, où il milite au niveau international en faveur d'un changement des pratiques, en se basant sur l'ensemble des données scientifiques actuelles. Il a accompli un remarquable travail sur les conséquences de la vaccination contre la coqueluche.

En 1994, il a publié une étude dans laquelle il comparait l’incidence de l’asthme entre 243 enfants vaccinés contre la coqueluche et 203 qui ne l’étaient pas. Les enfants vaccinés avaient 5 fois plus de chance de souffrir de crises d’asthme et 2 fois plus d’avoir des infections de l’oreille que les non vaccinés. En 1997, une autre étude rétrospective menée sur 1934 patients nés entre 1975 et 1984 dans l’Oxfordshire en Angleterre, montre que les enfants vaccinés contre la coqueluche avaient 75 % de plus que les autres de devenir asthmatiques ou d’attraper la fièvre des foins.

Aux yeux de ce spécialiste, les programmes de vaccination ont produit des générations de mères dont l’indigence des anticorps vaccinaux ne permet plus de protéger leurs bébés de la coqueluche, ce qui explique qu’ils l’attrapent et en meurent parfois dans les premières semaines de leur existence. Lorsque ceux qui ont résisté sont devenus adultes, ils sont victimes de toux chronique, d’asthme, d’allergies et infections diverses, car ils n’ont pas été en contact avec la bactérie qui aurait contribué à construire leurs défenses naturelles.

Le vaccin anticoquelucheux a fait disparaître les symptômes de la maladie qui, aujourd’hui, n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes bien plus graves de cette maladie qui atteint à présent les adultes et les adolescents, ainsi que les nourrissons.

 

Une étude approfondie, consacrée à la responsabilité des vaccins sur l’incidence de l’autisme, a été entreprise aux États-Unis, par un journaliste d’investigation, Dan Olmsted, alors que le gouvernement fédéral s’acharnait à retarder les études sur leur toxicité. En recherchant des enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins — ce qui est rare dans ce pays — afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences, Olmsted s’est adressé aux Amish du district de Lancaster, en Pennsylvanie, dont les convictions religieuses s’opposent à la vaccination. Chez eux, les autistes sont pratiquement inexistants.

Il s’aperçut alors que, d’après le pourcentage d’autistes sur le plan national, il aurait dû en trouver 130 chez les Amish. Or, il n’en trouva que 4. L’un d’entre eux avait été longtemps exposé à un fort taux de mercure à cause d’un générateur, les trois autres étaient vaccinés.

Lorsqu’il fit part de cette découverte au Dr. Julie Gerberding, du CDC, elle lui répondit qu’elle n’avait aucun intérêt car les Amish avaient des « dispositions génétiques qui les rendaient différents des autres populations des États-Unis ». Il est surprenant que pour justifier une position indéfendable, ce médecin ayant d’importantes responsabilités ait osé dire qu’une religion hors norme peut modifier les gènes qui deviennent alors hors norme. Les croyances auraient-elles un impact sur les gènes ?

Dan Olmsted étudia ensuite une autre communauté, non religieuse mais qui est loin d’être une secte, le Homefirst Health Services de Chicago, qui a un point commun avec les Amish : les enfants ne sont pas vaccinés et ne sont jamais autistes. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de Rolling Meadows dans la banlieue de Chicago, fondée en 1973. Ces médecins accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants pendant leur enfance et leur adolescence. Le Dr Mayer Eisenstein, directeur médical de l’organisation, signale : « Depuis des années, nous avons suivi 30 à 35 000 enfants dès leur naissance, et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi les enfants qui n’ont jamais reçu de vaccins. Nos médecins ont aidé à faire naître plus de 15 000 bébés dont la plupart n’ont jamais été vaccinés. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant. »

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser les moyennes d’autistes de cet État à 38 pour 10 000, d’après le ministère de l’éducation, alors que, d’après le CDC, elles sont de 60 pour 10 000 dans le reste du pays.

Le Dr Eisenstein, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, ajoute que ces chiffres sont significatifs et qu’il est impossible d’ignorer la différence. Les vaccinations sont obligatoires dans l’Illinois, mais l’État accepte les exemptions pour raisons religieuses. Homefirst laisse les parents libres de leur choix, mais Eisenstein critique ouvertement la politique de vaccination du CDC depuis les années 1990. Il est l’auteur du livre Don't Vaccinate Before You Educate ! (Ne vaccinez pas avant d’éduquer).

Le Dr Paul Schattauer, qui fait partie du Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine, confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin des un sur 166 cas officiels dans notre pays. » En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2 500 dans cette région.

Le Dr Schattauer a également confirmé que les enfants traités par les médecins du Homefirst sont rarement sujets à l’asthme et au diabète juvénile, alors que le pourcentage d’asthme chez les enfants est d’environ 10 % pour le reste de la population. Commentaire du Dr Eisenstein : « J’ai d’abord cru que cette protection était due à l’allaitement maternel ; mais nous trouvons des asthmatiques chez les enfants nourris au sein alors qu’il n’y en a pas chez les enfants nourris au sein et non vaccinés. »

Au début de l’année 2005, le Dr Jeff Bradstreet, pédiatre en Floride, spécialiste de l’autisme, a confirmé qu’on ne trouve pratiquement aucun cas d’autisme chez les enfants non vaccinés pour des raisons religieuses et élevés au sein de leur famille afin d’échapper aux vaccinations scolaires, ce qui rejoint les observations du Dr Eisenstein et celles de Dan Olmsted.

Actuellement, aucun responsable des vaccinations n’accepte d’accorder le moindre crédit au fait qu’il n’existe pas d’autisme chez les Amish, ni dans les rangs de Homefirst à Chicago, ni chez les enfants scolarisés dans leur famille. Ce fait constitue une omission très significative. Et la plupart des psychanalystes interrogés sur le sujet prétendent que l'autisme pourrait être la conséquence d'une dépression maternelle, d'une mauvaise relation avec l'enfant, voire d'un refus de l'apport masculin pour la conception. Certains osent même accuser des stades de folie transitoire chez la mère, ou même des désirs incestueux. C’est évidemment plus confortable de proférer de telles âneries que de remettre en question le dogme vaccinal.

Ces études concernent particulièrement les cas d’autisme, mais la santé générale des enfants Amish ou du Homefirst de Chicago est bien meilleure que celle des autres enfants américains.

Il est notoire qu’il n’y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, mais, dans ce cas précis, les instances de santé sont criminelles de ne pas essayer de comprendre la raison de l’augmentation effrayante de cette maladie et, surtout, pourquoi elle ne touche pas les enfants non vaccinés.

 

Après avoir travaillé aux États-Unis au Centre des sciences respiratoires de l’université de Tucson, en Arizona, puis à la Clinical Effectiveness de la Harvard School of Public Health à Boston, Erika von Mutius dirige la policlinique d’allergie et asthme au centre hospitalier universitaire pour enfants de Munich. Elle fait également partie du conseil rédactionnel du New England Journal of Medicine.

Le groupe de recherche de Pr Von Mutius s’est consacré à l’étude du rôle des expositions microbiennes dans le développement des allergies et de l’asthme. En 1999, ils ont comparé l’état de santé des enfants de Berlin Est et Ouest avant la chute du mur, pensant que les enfants de Berlin Est plus pauvres, moins soignés et mal nourris seraient en plus mauvais état de santé que leurs voisins de l’Ouest. Or, ils ont alors constaté que la réalité était à l’opposé de leur hypothèse. « Les enfants des régions les plus pauvres d’Allemagne de l’Est étaient en bien meilleur état de santé que ceux des familles aisées de l’Allemagne de l’Ouest. Leur taux d’allergie était bien inférieur et ils étaient rarement victimes d’asthme. L’équipe fut forcée de remettre en question ses observations qui rejoignent celles des « hygiénistes » qui pensent que l’exposition aux microbes dès l’enfance aide à renforcer le système immunitaire et préserve ainsi la santé des adultes.

En outre, une autre étude a montré que 5 à 10 % des enfants de 4 à 6 ans ont des verrues et que dans le groupe d’âge de 16 à 18 ans, on en trouve chez 15 à 20 %. Or, chez les enfants non vaccinés cette étude n’en a trouvé que 3 %.

(http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

 

Quant à la mortalité infantile, elle augmente avec le nombre de vaccins reçus, étant plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus. C’est ce que suggèrent de nombreuses études internationales, dont la plus récente a été publiée le 4 mai 2011 dans la revue Human and Experimental Toxicology par Neil Z. Miller, journaliste médical américain, et le Dr Gary Goldman, gynécologue, spécialiste de la varicelle, auteur de nombreuses publications dans JAMA « Journal of American Medical Association), et le BMJ (British Medical Journal).

Ils ont passé en revue toute la littérature afin de comparer le nombre de doses de vaccins administrés aux États-Unis et dans 33 autres pays et leur taux respectifs de mortalité infantile. Leur étude a démontré que le taux de mortalité infantile et les doses de vaccin suivent la même courbe. Ainsi, aux États-Unis, pays qui détient le record mondial de vaccinations (26 au minimum), on compte plus de 6,22 décès pour 1 000 naissances. En France où l’on recommande 19 doses, on enregistre 3,33 décès pour 1 000 naissances. En Suède où l’on n’administre « que » 12 vaccins, on compte 2,75 décès et au Japon, où le nombre de vaccinations est identique, le nombre de décès est de 2,79 pour 1 000. (cf. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given : Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

Philip Incao, Pr de médecine à Denver, estime que la santé des enfants de son pays s’est beaucoup détériorée depuis 1960 avec la large utilisation des vaccins : « Pendant 23 ans j'ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. D'autre part, les premiers n'ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres ».

Il a bien étudié le Syndrome de la Mort subite et inexpliquée du Nourrisson (MSIN) qui contribue au nombre élevé de décès constatés chez les nouveau-nés : « Chez ces enfants de moins d'un mois qui sont morts, la plupart des décès ont été classifiées comme MSIN. Cependant, dans le passé, ce syndrome n'a jamais frappé d'enfants aussi jeunes et la MSIN est officiellement observée seulement après un mois d'âge. […] Quoique le VAERS ait été créé selon la loi fédérale pour permettre une évaluation plus précise des risques de vaccination et bien que les données brutes soient analysées, les rapports individuels de d’accident ou de décès sont rarement, s'ils le sont, examinés. »

De son côté, le Docteur Jane Orient, spécialiste de médecine interne à Tucson, Arizona et Directeur de l'Association de Médecins américains et des Chirurgiens a déclaré : « La présence de découvertes comme l'œdème cérébral chez les enfants en bas âge sains qui meurent très peu de temps après la réception du vaccin contre l'hépatite B est inquiétante, particulièrement en vue de la fréquence de symptômes neurologiques dans le VAERS. »

Dès 1986, le Pr R. Bastin nous avertissait dans Le Concours médical du Ier février : « Nous retrouvons toujours les mêmes remarques concernant les effets défavorables des vaccinations. Une vaccination, quelle qu’elle soit, est toujours, biologiquement et immunitairement parlant, une offense pour l’organisme. »

En réponse à la demande d’un confrère concernant les vaccins et la mort subite du nourrisson, le Dr P. Touze osait écrire quelques années plus tard : « […] je crois qu’il faut cesser d’incriminer les vaccins dans la survenue de la mort subite inexpliquée du nourrisson. C’est mauvais pour le moral de la population vaccinée... et pour celui des vaccinateurs. » Cette lettre, publiée dans Le Concours médical du 25 mars 1995, montre bien l’état d’esprit qui règne chez certains médecins, pour lesquels il est sans doute préférable de laisser mourir quelques nourrissons plutôt que de saper le moral des vaccinateurs !

 

Au Japon, l'introduction en 1947 du vaccin anticoquelucheux avait induit un tel nombre d'accidents qu'il fallut créer un fonds spécial d'indemnisation, ce qui porta atteinte au crédit de la vaccination, laquelle fut suspendue en 1975 et qu'il fut jugé nécessaire d'introduire un nouveau vaccin, dit « amélioré », pour rassurer les parents. Un vaccin « acellulaire » est aujourd'hui administré aux enfants entre 2 et 4 ans. Néanmoins, les demandes d'indemnisation qui ont été signalées, sans compter les cas non déclarés, prouvent que le vaccin acellulaire n'est pas plus sûr que l'autre. (cf. Pediatr. Infect. Dis. J. - vol 9 - n° 10 - 1990). Cependant, en différant la vaccination contre la coqueluche après l’âge de deux ans, les japonais ont constaté une baisse très importante de la mort subite et inexpliquée du nourrisson, ce qui prouverait bien que le vaccin joue effectivement un rôle dans le syndrome (cf. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama - 1990). Il est indéniable que l'acte vaccinal représente un facteur primordial de déclenchement de l’arrêt respiratoire.

Déjà, en 1970, le Dr Archie Kalokerinos du Biological Research Institute d’Australie avait réussi à inverser la mortalité infantile de la population aborigène dans le bush australien en différent les vaccinations. Avec son confrère le Dr Glen Dettmann, le Dr Kalokerinos a découvert un lien évident entre la déficience immunologique provoquée par la vaccination et le syndrome de la mort subite et inexpliquée du nourrisson.

Mais en France, pays de Pasteur, les instances de santé ignorent ou font semblant d’ignorer toutes ces parutions qui devraient ébranler le dogme vaccinal. Espérons que le travail de l’Institut Robert Koch sera mondialement médiatisé et fera enfin tomber l’omerta qui règne sur ce sujet.

 

Sylvie Simon

 

(On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt, sur plusieurs sites Internet)

 

1. On peut voir l’interview d’Angelika Kögel-Schauzt sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV en cliquant son nom sur plusieurs sites Internet.

 

2. http://www.netdoktor.at/health_center/dermatologie/warzen.htm)

3. Miller, N. Z., Goldman, G. S. (2011). « Infant mortality rates regressed against number of vaccine doses routinely given: Is there a biochemical or synergistic toxicity ? », in Human & Experimental Toxicology.

 

4. Pediatr. Infect. Dis. J., vol. 9 - n° 10, 1990.

5. J. D. Cherry « Pertussis vaccine encephalopathy » in Jama, 1990.

 

 

8 mars 2013

Vaccins et autisme: Le secret que vous n'êtes pas censé savoir

The American Dream, Michael Snyder, 29 mars 2012

 

      Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), le nombre d'enfants autistes a augmenté de 78 pour cent en Zunie au cours de la dernière décennie. On estime aujourd'hui qu’un enfant sur quatre-vingt-huit enfants est atteint d’une forme quelconque de trouble autistique. Nos écoles sont véritablement bondées d’enfants ayant des « besoins spéciaux », et des millions de parents tentent désespérément de comprendre pourquoi tant d'enfants ont ces graves problèmes de développement. Curieusement, la plupart des enfants autistes étaient au départ tout à fait normaux. La plupart d'entre eux se développent très bien pendant la première ou les deux premières années, et puis se produit une chose dramatique. Qu’est-ce donc que cela pourrait être ? Eh bien, il y a un secret que vous n'êtes pas censé savoir. Ce secret est que les vaccins sont l’une des causes principales de l'autisme. Le pourcentage de nos enfants atteints d'autisme a augmenté avec le nombre de vaccins qui leurs sont administrés. Aujourd'hui, dans certaines régions de Zunie, plus de 30 vaccins sont injectés aux jeunes enfants avant trois ans. Quand vous injectez tant de mercure et tant d'autres produits toxiques directement dans le sang des jeunes enfants vulnérables, des choses graves sont inévitables. Les preuves liant les vaccins à l'autisme continuent à affluer, et pourtant l'establishment pharmaceutique nie toujours avec vigueur qu'il pourrait possiblement y avoir un lien entre les deux.

 

      Chaque année, des milliers et des milliers de parents amènent leurs bambins en parfaite santé chez le médecin pour le faire vacciner, et finissent plus tard par le regretter amèrement. Peu de temps après l’un de leurs trop nombreux vaccins, beaucoup d’enfants tombent malades, arrêtent de parler et ne se remettent jamais. Les parents de ces enfants restent complètement anéantis.

 

      Si vous vous mettez à surfer sur Internet, vous pourrez trouver assez de témoignages de ce genre pour rester à les lire pendant des jours entiers.

 

      Or, pour l'establishment pharmaceutique, aucun lien ne doit jamais être admis entre vaccins et autisme. Des centaines de milliards de dollars de profits sont en jeu, et reconnaître que les vaccins provoquent l'autisme aurait des implications juridiques absolument hallucinantes.

 

      Jamais, jamais, jamais, jamais, les grandes compagnies pharmaceutiques ne reconnaîtront ce lien. Et puisque ces entreprises dépensent aussi des milliards de dollars en publicité dans les médias grand public, ceux-ci non plus ne reconnaîtront jamais ce lien.

 

      C’est entièrement une question d'argent.

 

      C’est pourquoi ils doivent se comporter d’une manière incroyablement intrigante quant à ce qui est à l'origine de la poussée dramatique des cas d'autisme en Zunie.

 

      Et « poussée dramatique » est en réalité un euphémisme.

 

      Il devient vraiment difficile de nier que l'épidémie d'autisme est ici absolument explosive. Ceci provient d’un article récent de CNN :

      En 2000 et 2002, l'autisme était estimé toucher environ 1 enfant sur 150. Deux ans plus tard, à 8 ans, 1 enfant sur 125 était autiste. En 2006, ce rapport était de 1 sur 110, et les toutes dernières données – de 2008 – suggèrent qu’un enfant sur 88 est autiste.

 

      Quelle en est donc la cause ?

 

      Les mass medias lancent toutes sortes de théories bizarres.

 

      Mais un nombre croissant de parents en arrivent à une conclusion. Malgré la propagande écrasante dans les médias grand public, selon laquelle les vaccins ne provoquent pas l'autisme, un sondage a révélé qu’un parent sur quatre pense désormais que les vaccins sont à l’origine de l'autisme.

 

      De ce fait, pourquoi tant de parents ne sont pas écoutés par les « experts » ?

 

      Eh bien, c'est à cause de ce qu'ils voient dans la vie réelle. Ce qui suit provient d'un article récent du Huffington Post :

      C'est un fait que de nombreux enfants atteints d’un désordre du spectre autistique voient leur développement normal régresser juste au moment où on leur administre de multiples vaccins, lors de leurs visites habituelles chez le médecin. Les responsables de la santé estiment que le moment est purement fortuit.

      La régression survient généralement entre 12 et 24 mois, bien qu’une étude ait découvert que certains enfants montrent des signes d'autisme dès six mois, mais jamais avant cet âge.

      À l'âge de six mois, la plupart des enfants zuniens ont reçu environ 18 inoculations contenant 24 vaccins contre neuf maladies. Au cours des deux années suivantes, ils recevront encore neuf piqûres contenant 14 vaccins contre 12 maladies.

      Ainsi, quand un enfant régresse à six mois, ou à 18 mois, cette tragédie arrive en période de vaccination intensive. Dans de nombreux cas, des parents signalent que leur enfant a eu une réaction anormale après avoir été vacciné (convulsions, poussées de fièvres, diarrhées, léthargie, cris aigus et/ou d'autres symptômes).

 

      Si votre enfant cessait de parler dans les jours (voire les heures) suivant un vaccin, comment vous sentiriez-vous ?

 

      Des grandes compagnies pharmaceutiques financent de nombreuses études pour essayer de montrer l’absence de lien entre vaccins et autisme, mais de nombreuses études indépendantes contredisent leurs conclusions. Ce qui suit est tiré d’un article de Paul Joseph Watson :

      L’épidémiologiste Tom Verstraeten et le Dr Richard Johnston, immunologiste et pédiatre à l'université du Colorado, ont tous deux conclu que le thimérosal est responsable de la poussée dramatique des cas d'autisme, mais leurs conclusions ont été rejetées par le CDC.

      En Zunie, les cas d'autisme ont maintenant bondi de plus de 2700 pour cent depuis 1991, qui est l’époque où les vaccins pour enfants ont doublé, et le nombre de vaccinations ne fait qu'augmenter. À peine un enfant sur 2.500 était diagnostiqué autistique avant 1991, alors qu’un enfant sur 91 est à présent atteint par cette maladie, contre un sur 150 il y a six ans.

 

      Et si tout ce mal provenait du thimérosal ?

 

      Eh bien, le thimérosal contient du mercure, l'une des substances les plus toxiques connues de l'humanité. Il a été prouvé que le mercure compromet gravement le développement neurologique. Ce qui suit vient directement du site Internet de l’EPA (Agence de protection environnementale) :

      Chez le fœtus, le nourrisson et l’enfant, le principal effet sur la santé du méthylmercure est de nuire au développement neurologique. L'exposition au méthylmercure dans l'utérus, qui peut résulter de la consommation par la mère de poissons et crustacés contenant du méthylmercure, peut affecter le cerveau et le système nerveux en pleine croissance du bébé. Des conséquences sur la pensée cognitive, la mémoire, l’attention, le langage, l’adresse manuelle et l’habileté spatiale visuelle [capacité à focaliser, strabisme ? ndt] ont été observées chez les enfants exposés au méthylmercure dans l'utérus.

 

      Pourquoi donc grand dieu voudrions-nous inoculer d’énormes doses de mercure à nos jeunes enfants, juste au moment où leur cerveau commence à se développer ?

 

      C’est littéralement fou de faire un truc pareil !

 

      Dans le monde entier, beaucoup d'autres pays ont reconnu cela et ont interdit le thimérosal dans les vaccins.

 

      Ce qui suit provient d'un article de Dawn Prate :

      « En 1977, une étude russe constata que des adultes exposés à l'éthylmercure, la formule mercurielle présente dans le thimérosal, souffraient de dommages cérébraux quelques années plus tard. Les études sur l'intoxication au thimérosal ont aussi décrit une nécrose tubulaire rénale et des lésions du système nerveux, dont la perte de sensibilité, le coma et la mort. La conséquence de ces constatations fut que la Russie interdit le thimérosal dans les vaccins des enfants en 1980. Le Danemark, l'Autriche, le Japon, la Grande-Bretagne et tous les pays scandinaves, ont également interdit cet agent de conservation. »

 

      Dans ces conditions, pourquoi n'est-il pas interdit ?

 

      Et pourquoi, chez nous, de si nombreux parents permettent toujours de l’injecter en quantité très élevée directement dans le sang de leurs précieux bambins ?

 

      Des milliers et des milliers de parents sont prêts à témoigner qu'ils ne laisseraient jamais vacciner leurs enfants s'ils pouvaient revenir en arrière et recommencer.

 

      Voici quelques témoignages sur les vaccins et l'autisme, qui ont été postés par des lecteurs d’Organic Health :

      Katrina : Mon fils a développé de l'autisme à 15 mois, suite à ses vaccinations. Ce n'est guère surprenant puisqu'il avait eu 26 vaccinations à ce moment-là. Son organisme fragile ne pouvait supporter davantage de poison et son parler de 19 mots (régulièrement) lors de son bilan de santé à 15 mois avait régressé à 2 mots (rarement) lors de son bilan de santé à 18 mois. Je crois FERMEMENT que les médecins sont manipulés ou trompés à la faculté de médecine... et ainsi... n’en sortent que pour manipuler ou tromper leurs patients. 3 MOTS... NOUVEL ORDRE MONDIAL... Faites des recherches sur ça. Je suis heureuse de voir que beaucoup d’entre nous, les « moutons », commencent à se réveiller. Au fait, il s’agit intégralement de la révélation biblique. Dans l'Apocalypse, la ville de Babylone est dite « avoir trompé le monde avec sa SORCELLERIE » (la traduction grecque indique Pharmekia... ce qui veut dire Produits pharmaceutiques !!) Quand est-ce que les églises CHRETIENNES prendront conscience de cela ??

 

      Anonyme : Eh bien, je n'ai pas un mais deux enfants atteints d'autisme suite aux vaccins infantiles. J'ai fait confiance aux médecins qui m'ont fait peur à ce propos. Ils m'en ont parlé et dit qu'il y avait relativement peu de chance que mes enfants aient une réaction. Eh bien, après les piqûres, mes enfants sont devenus si malades que j’ai dû les mettre tous les deux à l'hôpital sous perfusion pendant 4 jours. Leurs membres étaient flasques et ils étaient incapables de garder la tête droite – tout ce qu'ils pouvaient faire, c’était de rester couchés là, avec de la diarrhée et de la fièvre. Je pensais qu'ils allaient mourir. Après cela, ils ont été retardés et le diagnostic d’autisme est tombé. Maintenant, expliquez avec vos statistiques combien d'enfants étaient autistes avant les années 80... 1 sur 10.000 !! Récemment, cela a été évalué entre 1 sur 60 et 1 sur 90, en fonction de la source ou de l'État. Il n'existe pas statistiquement de chose comme une épidémie génétique. Vraisemblablement, une composante génétique [*] ou une faiblesse est déclenchée par quelque atteinte environnementale à l’organisme. Je dirais qu’un coupable probable est les vaccins combinés à notre régime moderne d'aliments crades, hautement transformés, et aux cochonneries en plus du manque de vrai soleil et de vitamine D3.
[* Ndt : Des médecins racontent que l’autisme est dû à un gène, comme si une chose pareille était possible. C’est pour ça que des parents de victimes répercutent sans réfléchir cette connerie d’hérédité génétique.]

 

      Cindy : J'ai eu quatre enfants et on ne m’a jamais dit de me faire vacciner contre la grippe ni encouragée à le faire en obstétrique et gynécologie durant mes grossesses. Je vous en prie, refusez ce vaccin si vous êtes enceinte et rejetez le pour vos enfants ! Les vaccins provoquent de nombreuses maladies et même des décès. J'ai presque perdu ma fille autiste, elle s’éteignait, mais j’ai arrêté les vaccins et elle a retrouvé la santé. Pourquoi quelqu’un permettrait-il d’injecter ces poisons à son enfant nouveau-né. Ils sont la cause de beaucoup de maladies infantiles et de maladies d’aujourd'hui. Autisme, trouble déficitaire de l'attention, trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité, asthme, allergies et d'autres encore. Beaucoup d'informations sont disponibles pour en savoir plus. S'il vous plaît, découvrez la vérité pour vous-même...

 

      Freddie : Lorsque notre fille avait 18 ans, elle a fait une grave réaction à sa vaccination – température extrêmement élevée, inconsolable, et cela a duré plusieurs jours après la piqûre – c’était affreux. Elle a même montré des signes d'autisme, ce qui nous a fait craindre à qu’il n’y aurait pas de fin, mais finalement ça s’est calmé. Nous avons commencé à nous méfier de tous les vaccins et regrettons maintenant ceux qui ont été faits à nos trois enfants. Bien sûr, le médecin nous a fait tous passer un épisode difficile. Nous avons pratiqué l’enseignement à domicile, et j'ai entendu dire que depuis qu’ils sont éduqués chez eux, les enfants ayant d’habitude moins de vaccins (les écoles exigent que tous les vaccins soient « à jour »), il y a moins de cas d'autisme. Je pense que de nombreuses personnes ont pris de mauvaises décisions en plus de s’enrichir beaucoup avec les vaccins. Dieu ne nous a pas destiné à nous faire injecter des poisons dans le sang. Au dos des dossiers de mes enfants il est dit « Baby Shots, A Healthy Dose of Love! » [Piqûres pour bébé, une bonne dose d'amour !] – PAS MOI.

 

      DA : Avez-vous une idée du nombre de gens que je connais, surtout des petits garçons, qui ont développé de l'autisme après l’une de ces très petites piqûres inoffensives que l’on nous dit parfaitement sûres ? Près d'une douzaine ! Sans étudier chaque chose se passant dans notre corps, nous sommes des agneaux à l'abattoir. Notre vie et celle de nos enfants sont en jeu. Le jour où les compagnies pharmaceutiques vaccineront à l’œil, quand elles ne feront plus de fric avec ça, je leur ferai plus confiance. Jusqu'à ce jour, soyez très prudent car nous sommes tous manipulés au nom du monstrueux dollar !

 

      AJD : L'autisme touche 1 enfant sur 91, avec 1 garçon sur 58 depuis le mois dernier. Les signes d'autisme ne sont pas visibles avant que l'enfant ait au moins 12 mois. Jusque-là, FAITES ATTENTION. Suivez le calendrier de vaccination de remplacement affiché sur GenerationRescue.org. Mangez des aliments bio, arrêtez le sucre et la malbouffe, prenez vos vitamines ou préparations multivitaminiques prénatales après la naissance et procurez-vous de la vitamine D et B12 certifiées après l'accouchement. ALLAITEZ VOTRE BÉBÉ LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE. Dans l'intervalle, des suppléments de vitamine A et C sont utiles pour le développement de son cerveau et de son système immunitaire. Des probiotiques peuvent aussi être donnés au nouveau-né. PRENEZ SOIN DE VOUS ET DE VOS ENFANTS MAINTENANT... Espérons que votre enfant ne rejoindra pas dans l'avenir l'épidémie d'autisme, d’allergies alimentaires graves, de maladies auto-immunes ou même de cancer. Je vous souhaite à toutes la meilleure maternité possible. Sincèrement, de la part d’une mère démolie par un vaccin il y a plusieurs années, vivant avec des maladies auto-immunes et deux enfants, dont l'un est autiste. Depuis lors, nous avons commencé un régime sans gluten ni caséine pour toute la famille, une intervention biomédicale pour mon fils autiste, à manger davantage d'aliments bio et à prendre des suppléments pour améliorer notre santé au quotidien. Dieu vous bénisse.

 

      Mais ce ne sont pas seulement les jeunes enfants qui sont démolis par les vaccins.

 

      Des milliers et des milliers de femmes enceintes ont perdu leurs bébés peu de temps après avoir été vaccinées [ce fut signalé partout en masse après la vaccination contre la fameuse grippe charcutière, ndt].

 

      Des milliers et des milliers d'adultes ont contracté une incapacité permanente à la suite de vaccins, très peu de temps après.

 

      Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez trouver des dizaines d'histoires d’épouvante vaccinale ici et .

 

      La bonne nouvelle est que, si votre enfant est atteint d'autisme, il y a de l'espoir.

 

      Dès que vous avez compris que les vaccins peuvent provoquer l'autisme, il devient beaucoup plus facile à soigner. Ce qui suit est une citation du Dr Russell Blaylock :

      Les études sur les enfants autistes ont souvent montré des concentrations très élevées de mercure, sans découvrir d’autres sources d’exposition que les vaccins. Ces concentrations sont égales à celles observées chez les adultes exposés à des poisons industriels. Des améliorations cliniques spectaculaires de l'autisme ont été plusieurs fois constatées grâce au comportement social et aux interactions sociales entourant les enfants dont le mercure a été chélaté. Les résultats dépendaient de la rapidité avec laquelle le mercure était retiré suite à l’exposition, mais des dommages permanents peuvent se produire si le métal n'est pas chélaté assez tôt. Pourtant, même en cas de graves dommages, du fait de la formidable capacité réparatrice du cerveau du nourrisson, des améliorations sont possibles. Le problème de l'autisme implique de nombreuses fonctions de l’organisme, notamment le système gastro-intestinal, immunitaire et nerveux ; en conséquence, nous voyons de nombreuses infections et l’amplification des effets de la malnutrition. Dans l’ombre, en dehors de l’establishment médian, en utilisant une approche scientifique multidisciplinaire totalement ignorée par l'orthodoxie, des spécialistes intrépides ont fait beaucoup de miracles avec ces enfants. Certains enfants ont même connu un retour complet à la normalité physiologique.

 

      C’est pourquoi, si votre enfant est autiste, ne perdez pas l’espoir.

 

      Il existe des choses qui peuvent être faites.

 

      Malheureusement, partout dans le pays, les autorités répondent au mouvement anti-vaccin en devenant plus sévère que jamais avec les parents.

 

      Par exemple, partout en Zunie, tout enfant n'ayant pas écopé de tous les « vaccins nécessaires » est interdit d'école.

 

      Dans certains cas, des enfants sont réellement enlevés à leurs parents qui ne leur donnent pas les « bons » vaccins. Lors d’une affaire récente en Pennsylvanie, un travailleur social a pris la garde d'un bébé juste après sa naissance, simplement parce que sa mère ne consentait pas à ce que l'enfant soit vacciné.

 

      C'est le comble de la démence pur jus.

 

      Les parents ne devraient pas avoir le droit de décider s’il sera ou non injecté plein de mercure et d'autres substances toxiques à leurs jeunes enfants ?

 

      Les parents ne devraient pas avoir le droit de se demander si c'est une bonne idée d'inoculer aux enfants des dizaines de vaccins avant l'âge de 3 ans ?

 

      Mais ce n'est pas comme ça que marche notre système. Les grandes compagnies pharmaceutiques financent les campagnes électorales de nos politiciens, et elles achètent nos politiciens pour qu’ils nous intimident afin que nous nous fassions vacciner.

 

      Pour en savoir beaucoup plus sur tout ça, vous pouvez consulter un article de Barbara Loe Fisher, intitulé « Autism & vaccines ».

 

      Tellement de choses pourraient être écrites sur ce sujet, mais j'espère que cet article vous aidera à démarrer.

 

      L'essentiel est de faire vos propres recherches. N’écoutez pas aveuglément les [réclames publicitaires des] compagnies pharmaceutiques ou de qui que ce soit d'autre.

 

      Avant de vous décidez un jour à vacciner un enfant, renseignez-vous autant que possible sur les vaccins.

 

      Encore une fois cette année, des milliers et des milliers d'enfants deviendront définitivement invalides pour des prunes.

 

      Quelle catastrophe devra devenir l'autisme en Zunie avant que nous admettions enfin la vérité ?

 

Original : endoftheamericandream.com/archives/vaccines-and-autism-the-secret-that-you-are-not-supposed-to-know
Traduction copyleft de Pétrus Lombard

8 mars 2013

Le cartel pharmaceutique

7 mars 2013

Le BAIL-IN ?

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7 mars 2013

Vaccin: ce que tout parent doit savoir

Un nombre alarmant d’études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.

Il ne s’agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c’est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.

Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)

Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd’hui au centre d’un scandale qui n’en finit pas. Selon le décompte effectué par l’association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)

Le vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D’autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin hépatite B avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages,

dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d’être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n’ont pas eu l’idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.

Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l’efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

L’aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d’Al zheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d’après-guerre.

Un rapport risque/avantage douteux

Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu’auraient des vaccins.

L’opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc.

Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m’oblige à écrire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie.

Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle.

Le cas emblématique de la diphtérie

Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d’exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l’échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l’excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6)

En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %).

En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts.

Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagnent d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi-totale.

Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l’Espagne en 1964, de l’Allemagne en 1939).

Un phénomène général

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y eut de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

La tuberculose et le BCG

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.

Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année.

Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition.

Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation a été supprimée en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

La vérité soigneusement dissimulée

Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s’est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d’autant plus lucrative qu’elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter.

Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d’euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.

Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d’euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen.

A l’achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :

  • la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d’euros,
  • l’acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d’euros,
  • l’achat d’antiviraux pour 20 millions d’euros,
  • 150,6 millions d’euros de masques,
  • 41,6 millions d’euros de dépenses logistiques,
  • 290 millions afin d’indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
  • 59,6 millions destinés aux frais d’information et à la campagne de communication,
  • 100 millions de « frais liés à l’organisation territoriale de la campagne de vaccination »,
  • et encore 375 à 752 millions d’euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

Finalement, le nombre de vaccins utilisés n’a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l’affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.

Pas de suivi des accidents liés aux vaccins

De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s’ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu’on vous expliquera qu’il s’agit d’une pure coïncidence, y compris s’il y a décès.

Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.

Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu’ils considèrent qu’il n’y a pas de lien.

C’est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d’autres personnes que l’on retrouve sur les innombrables sites d’information sur la vaccination. (8)

Un témoignage parmi d’autres, recueilli par l’EFVV (European forum for vaccine vigilance) :

« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l’identité de mon bébé parce que j’ai peur que cela me retombe dessus, mais j’ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu’un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c’est. Elle était parfaite. Lorsqu’on lui fit l’injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d’une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s’est endormie profondément, et ne s’est plus jamais réveillée. J’ai commencé à m’inquiéter parce qu’elle semblait dormir plus longtemps que d’habitude et lorsque j’ai voulu vérifier, j’ai remarqué qu’elle avait un peu vomi et qu’elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n’ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c’est le vaccin qui l’a tuée. Elle n’avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l’ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd’hui, j’ai peur qu’ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu’ils m’accusent d’avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c’est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »

Mais c’est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s’ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l’évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l’Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu’elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.

Cela permettrait très rapidement d’établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l’enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c’est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu’injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l’organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.

Mais pour des raisons qui n’ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n’est absolument pas envisagé aujourd’hui par les autorités sanitaires.

Que faire ??

Cela veut-il dire qu’il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ?

Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner.

Le problème est que l’absence d’études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd’hui d’éléments fiables pour prendre des décisions éclairées.

Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins.

Il semble toutefois raisonnable a priori d’éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu’on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.

Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d’autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.

De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n’est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d’autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n’est pas prévu par le système.

Une réforme indispensable et urgente

Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l’information des médecins comme du grand public à ce sujet.

Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S’il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées.

Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l’emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas.

Mais même si c’est aux médecins de s’assurer qu’ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d’Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l’utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d’être responsable de notre santé.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis

 

Sources :

Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.eu

  1. BMJ 2013;346:f794
  2. Guillain-Barré Syndrome After Influenza Vaccination in Adultsarchive ] , David N. Juurlink, Therese A. Stukel, Jeffrey Kwong, Alexander Kopp, Allison McGeer, Ross E. Upshur, Douglas G. Manuel, Rahim Moineddin, Kumanan Wilson, Arch Intern Med. 2006;166:2217-2221.
  3. Décompte effectué par Sanevax : http://sanevax.org/breaking-news-gardasil-fingerprints-found-in-post-mortem-samples/
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249285
  5. http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminium-dans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli
  6. Rapport « Survey on Vaccinations in Europe », EFVV, téléchargeable gratuitement sur www.efvv.eu
  7. http://www.lemonde.fr/epidemie-grippe-a/article/2010/01/04/une-grippe-a-deux-milliards-d-euros_1287422_1225408.html
  8. http://www.gardasilandunexplaineddeaths.com/


Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.santenatureinnovation.com/quels-problemes-de-sante/autres/danger-vaccin-enfants-vaccination-dangereuse/#ixzz2SWptqh9a

 

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